L’idée principale est de redonner à voir la ville de manière SENSITIVE, de changer de rythme à travers une longue conception du visuel: créer des images VIBRANTES, mouvantes, s’inscrivant ainsi dans le temps, loin de l’idée du simple « instantané ». L’idée secondaire est de SUSCITER LE DOUTE et de briser les frontières entre arts plastiques et photographiques, l’envie d’un entre-deux...

Visible dans son intégralité ici : Aix en vibrance.

Une série pour vous donner l'envie de (re)découvrir l'univers doux et mystérieux des peintres préraphaélites. Rien de sacrilège pour les versions "décalées", juste un grand respect pour ces œuvres, le désir d'équilibrer la mélancolie qui s'en dégage par un pied de nez à la vie, de mélanger la poésie à la légèreté ("insoutenable" comme disait Kundera...):  rendre hommage et leur redonner vie à notre manière (réalisé en famille).

Des images difficiles à réaliser mais essentielles. Avoir une démarche « artistique » dans ce lieu n’est pas totalement déplacé: dans les premières années de la guerre de très nombreux artistes ont été emprisonnés dans ces murs, au point que le camp fut à un moment surnommé « Le Montmartre des Milles ». La démarche photographique est expliquée en détail ici: /article-camp-des-milles

"Et tournesol, il vécut ce que vivent les tournesols"...

Victor Hugo disait "Tout vit, tout est plein d'âme", je serai tentée de nuancer ainsi: "Tout vibre, tout est plein d'âmes"...